La présidente de la FSE (CSQ) de passage dans le Nord-du-Québec
24 septembre 2016
La présidente de la Fédération des syndicats de l’enseignement (FSE-CSQ), Mme Josée Scalabrini, sera de passage à Val-d’Or et à Waswanipi, les 25 et 26 septembre prochains, pour rencontrer les enseignantes et enseignants de l’Association des employés du Nord québécois (AENQ-CSQ) et les soutenir dans le cadre des négociations avec la Commission scolaire Crie pour le renouvellement de leur convention collective.
Ainsi, elle se rendra à Val-d’Or, le dimanche 25 septembre, pour discuter avec les déléguées et délégués syndicaux du conseil de secteur, puis le 26, elle ira visiter les trois écoles et le Centre régional de formation professionnelle Sabtuan, à Waswanipi. Elle sera accompagnée de M. Larry Imbeault, président de l’AENQ.
« Il va de soi que les réalités particulières liées au territoire du Nord québécois ont un impact sur les conditions de travail et les services qui sont offerts aux élèves. Je suis très contente de pouvoir aller à la rencontre de ces enseignantes et enseignants et leur réitérer tout notre appui pour faire avancer la négociation afin d’améliorer leurs conditions de travail et d’alléger leur tâche. Nous nous joignons également à eux pour réclamer un ajout de services et un traitement efficient des dossiers des élèves ayant des besoins particuliers sur l’ensemble de leur territoire », a déclaré Mme Scalabrini, qui dit également vouloir un dénouement du côté des négociations des enseignantes et enseignants avec la Commission scolaire Kativik.
« Nous avons conclu une entente de principe pour le personnel de soutien de la Commission scolaire Crie. Il est grand temps d’en arriver à une entente satisfaisante du côté des enseignants. Quant aux négociations avec la Commission scolaire Kativik, voilà presque deux ans que nous avons déposé en vain nos demandes. Il est plus que temps que cette dernière vienne s’asseoir à la table de négociation. Nous attendons la décision du Tribunal administratif du travail qui, nous sommes confiants, sera en notre faveur et obligera la Commission scolaire Kativik à négocier », a conclu M. Imbeault.