La Fédération des syndicats de l’enseignement lance la 20e édition du concours Ma plus belle histoire
8 septembre 2022
À l’occasion de la Journée internationale de l’alphabétisation, la Fédération des syndicats de l’enseignement (FSE-CSQ), en collaboration avec la Centrale des syndicats du Québec (CSQ), donne le coup d’envoi à la 20e édition du concours d’écriture Ma plus belle histoire destiné aux élèves de la formation générale des adultes.
Chaque année, les élèves inscrits dans un centre sur le territoire de la FSE‑CSQ sont invités à nous faire découvrir leur plume en rédigeant un texte sur un sujet qui les inspire. Le concours est ouvert à tous les services d’enseignement, y compris l’alphabétisation ainsi que la francisation. Au terme d’un processus de sélection des plus rigoureux, un recueil riche des 50 meilleurs textes reçus sera publié. Plusieurs prix seront également remis lors d’un gala national organisé au printemps 2023 pour souligner la qualité des textes gagnants dans chacune des sept catégories. Artiste engagé auprès des jeunes, Manu Militari a généreusement accepté de parrainer le concours. Pour l’occasion, il animera des ateliers d’écriture virtuels auxquels près de 200 élèves inscrits en formation générale des adultes pourront participer cet automne.
Pour souligner le 20e anniversaire, la FSE-CSQ a notamment revu entièrement l’image de marque du concours. Passant du crayon à l’oiseau dont les ailes prennent la forme d’un cahier, le visuel du concours Ma plus belle histoire vise à rappeler, d’une part, la diversité des styles littéraires possibles et, d’autre part, que l’écriture permet de s’évader en faisant rêver ou en extériorisant les sentiments; en bref, qu’écrire donne des ailes!
« L’écriture a été salvatrice pour moi, une alliée de tous les instants particulièrement dans les moments difficiles. C’est l’une des raisons pour lesquelles j’ai accepté de parrainer le concours pour une deuxième année consécutive. J’invite chaleureusement tous les élèves de la FGA à y participer. J’ai hâte de les lire et peut-être de les rencontrer dans mes ateliers d’écriture », a mentionné Manu Militari, parrain du concours.
« Pensé d’abord pour faire connaître et valoriser la FGA, le concours a changé la vie de nombreux élèves au fil des ans. Plusieurs se sont découverts à travers lui, ont gagné ou retrouvé leur estime de soi et ont persévéré plus que jamais par la suite. Ils ont surmonté les embuches que la vie a mises sur leur chemin, et c’est le plus beau cadeau que peuvent espérer les enseignantes et enseignants des centres », a déclaré Josée Scalabrini, présidente de la FSE‑CSQ.